Mers Les bainsMers Les bains
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EU, est à l’encablure de la mer et à deux pas de la forêt, c'est une ville royale aux glorieux passé. Elle est le dernier domaine royal de France, et le témoin de 2 000 ans d’histoire. Guillaume, le futur Conquérant, épousa au château en 1050 sa cousine Mathilde de Flandre. La construction de l’actuel château de brique et de pierre a été commencé en 1578 par Henri de Guise et Catherine de Clèves. Il se termine avec la Grande Demoiselle, cousine du roi Louis XIV en 1665. Il devient ensuite la propriété de Louis-Philippe qui y installa ses quartiers d'été à la fin du 19e s. et sera une de ses résidences favorites. Viollet le duc se chargea plus tard de la décoration qu’il refait de 1874 à 1879. Il supprime notamment au rez de chaussée la grande salle à manger côté jardin qui est remplacée par le portique et ses magnifiques vitraux. Le château désormais propriété de la ville d’Eu abrite le musée Louis Philippe.
Le musée Louis-Philippe présente l'histoire du domaine à travers ses collections de meubles, vaisselles, tableaux et ses intérieurs reconstitués : la salle à manger de la famille royale, la chambre que la reine Victoria partagea avec le prince Albert en 1843 et 1845. La chambre dorée avec ses murs nuancés de blanc et de gris réhaussés d’or rappelle l’époque de la grande Demoiselle. Le soin et le luxe apportés à l’ornement des salles gardent l’empreinte de Louis Philippe Les couleurs chatoyantes des toiles murales du rez de chaussée reviennent à Viollet le duc dans un soucis de doter le château d’une décoration unique. L’un des atouts de du château est aussi son parquet exceptionnel.
Le château est entouré d’un parc aux arbres remarquables. Tandis que la façade s’ouvre sur un jardin à la française et un Le roi Louis-Philippe créea une roseraie et plante rhododendrons et azalées. Mais c’est la rose qui a une place privilégiée. Et en 1843, lorsque la reine d’Angleterre Victoria est reçue au château, elle apprécia particulièrement son appartement ouvrant directement sur le jardin de roses... La roseraie est en cours de reconstitution par la plantation de roses anciennes qui évoquent par leur nom l’histoire du château d’Eu.
Le théâtre du château est un théâtre à l’italienne de 200 places. Initialement construit en 1844 à la demande de Louis-Philippe, il n’était à l’époque qu’un garde-meuble. En 1857, la ville rachète le bâtiment pour le transformer en lieu de divertissement. Rénové en 2001, le Théâtre municipal est un véritable écrin de rouge et d’or accueillant une programmation variée.
Au pied du château, la collégiale Notre Dame et St Laurent. Elle est dédiée à la vierge et à St Laurent O’toole, primat d’Irlande et mort à Eu en 1180. Considéré comme un chef-d’œuvre de l’art ogival, l’église est construite entre 1186 et 1240. C’est aujourd’hui un bel édifice gothique primitif dans les parties anciennes. L’intérieur de la nef n’a subi aucune modification ni addition importante depuis sa construction. En 1426, un incendie détruit le chœur qui fut restauré dans le style flamboyant. Viollet le duc a procédé à une restauration générale au 19e. A l’intérieur se trouve la Statue de Notre Dame d’Eu attribué à l’un des frères Anguier. L’orgue du 17e siècle, vient de célébrer ses 400 ans en 2014. Juste en dessous du chœur, la crypte voutée d’ogives a été restaurée en 1828 par les soins du Duc d’Orléans, futur Louis-Philippe qui y regroupa les mausolées des comtes d’Eu. Le gisant de St Laurent O’Toole.
Bâtie en 1613 par Catherine de Clèves, en mémoire de son époux, Henri de Lorraine, Duc de Guise. La Chapelle du collège des Jésuites est un mélange des styles renaissance et Louis XIII. Aujourd'hui lycée Anguier (du nom des anciens élèves de l’établissement), cet ancien collège renferme les deux mausolées en marbre du duc de Guise (assassiné à Blois en 1588) et de la duchesse sont placés dans le chœur.
En empruntant la rue de l’abbaye, on arrive à l’hotel dieu. Catherine de Clèves avait la volonté de créer un monastère à Eu. Des religieuses de Dieppe, les sœurs hospitalières de la Miséricorde de Jésus, de l’ordre St Augustin choisirent l’emplacement d’un nouvel hôpital. Elles achetèrent une maison du 17e et 18e et firent bâtir des bâtiments en briques de part et d’autre. C’est donc un ensemble hospitalier en briques et à pans de bois. L’hospice ouvre ses portes en 1658 et ne les ferme qu’en 1967. Il était destiné à servir, nourrir, traiter et médicamenter les pauvres. Rare cimetière couvert, lieu de repos éternel des sœurs hospitalière. (rez de chaussée à l’intérieur du bâtiment derrière la grille)
 
L'eau est omniprésente dans la ville d'Eu : fontaines, cours d'eau,
-dans le parc du château
-le long du boulevard Hélène
-au Jardin des Fontaines
La chapelle St Laurent : Perchée sur une colline et construite au XIXe siècle en l'honneur de Laurent O'Toole, cette chapelle offre une vue remarquable sur l'estuaire, la ville d'Eu et ses soeurs, Le Tréport et Mers-les-Bains.
 
Aux alentours, la forêt d’Eu, ancienne forêt royale s'étend sur 9 315 hectaresest composée de hêtraies étalées sur le plateau entre la Bresle et l’Yères. On y trouve aussi la bonne entente, un hêtre et un chêne dont les troncs ses sont accolés, le Chesnes à Leu.
Au cœur de la forêt d’Eu, les ruines d’habitations et de monuments gallo-romains rappellent l’existence de la petite ville de Briga. Des campagnes de fouilles s’y déroulent chaque année à la découverte des vestiges de cette bourgade qui s’est structurée dans les années -20-10 av JC pour péricliter à la fin du 3e siècle.
Le chemin vert du petit caux est un itinéraire de randonnée parallèle à la côte, qui suit le parcours d’une voie ferrée mise hors service. Entre Eu et St Quentin au Bosc, 17km de chemin entretenu par des associations de randonneurs.
 
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MERS LES BAINS
Située face au Tréport mais dans le département des Hauts de France, Mers Les Bains est une station balnéaire avec des façade colorée datant du 19e siècle.
La vogue des bains de mer, la belle plage de galets longue de 1 km, ainsi que l'arrivée du chemin de fer déterminèrent le succès de Mers-les-Bains dès 1860. Un magnifique ensemble de villas de style « Belle Époque » occupe le front de mer et les rues adjacentes. L'éclectisme y règne, avec une prédominance de l'Art nouveau. Une grande fantaisie s'observe sur les façades peu larges mais très hautes avec des balcons ouvragés et des bow windows décorés : toits en auvents, tourelles et clochetons, plaques de céramique.
Rue Jules Barni : Située au pied de la falaise et édifiée entre 1869 et 1875, elle est considérée comme le premier centre commercial de la ville et des environs. Une architecture originale avec des toits en terrasse et balcons partiellement ajourés, une riche ornementation en façade avec des frises de céramiques... Classée Monument Historique en février 2012.
L’église Saint Martin Edifice date de 1928 de style romano-byzantin. Vitraux flamboyants, retable classé monument historique du XVIIe siècle et gisant de Saint Martin.
La Statue Notre Dame des Flots, cette statue (1878) de 7m comprend 3 bas-reliefs représentant les Saints Patrons des 3 Villes sœurs : Le Tréport, Eu et Mers. On découvre alors un superbe panorama qui offre une vue unique au sommet des falaises à 90 m d’altitude
 

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Le Treport, vue depuis les falaises
 


Sont ainsi nommées Eu, Mers Les Bains et Le Tréport
 
LE TREPORT est un port de pêche et une station balnéaire animée en été avec le quai François 1e. En effet, François 1er de Clèves y a fait réaliser des travaux d’aménagement du port, et notamment l’édification de quais pour améliorer l’accostage des bateaux. C’est en 1872 qu’il voit réellement le jour. Le Musoir «Museau du port» avec ses deux rampes de part et d’autre, et ses petites boutiques au-dessous, se dresse au milieu du quai ,.
Le quartier des Cordiers était le quartier des pêcheurs (ils étaient des marins qui pêchaient sans filet juste avec une corde et un hameçon). Construit à partir du 18e au pied des falaises, il est constitué de rues étroites, de petites maisons à étages avec parfois des bow -windows ou des balcons à fer forgés.
En remontant vers l’église St Jacques, on arrive à l’ancien hotel de ville bâtiment en mosaïque de silex et de brique, avec sa voute et sa tourelle du 16e.
Dominant l'avant-port, L’église Saint Jacques. Bâtie en 1362, elle subit de nombreux dégâts pendant la guerre de Cent Ans. Restaurée en 1699, elle bénéficie d’un emplacement privilégié. Avec sa façade typique en damier (pierre de Caen et silex), sa tour gothique, son portail renaissance au tympan finement orné, ses superbes clés de voûte pendantes, Au fond du sanctuaire, belle Vierge du Tréport. Dans la chapelle Notre-Dame-de-Pitié, Pietà du 16e s.
Le Presbytère est un bel immeuble à la façade Renaissance, son «Manneken-Pis» nous rappelle celui de nos voisins belges.
Dominée par l'imposante falaise de craie parmi les plus hautes d’Europe, la longue plage de galets du Tréport. Dommage que la barre construite après-guerre vienne enlaidir cet ensemble.
Le funiculaire est unique en Europe, datant de 1908, il avait été détruit pendant la Seconde Guerre Mondiale mais remis en service en 2006 et permet de nouveau de relier le bas de la station aux « terrasses ». C’est un superbe voyage à travers la falaise entre le panorama du Tréport et les cordiers. Datant de 1908, le tunnel a été remis en service en 2006
Dressé au sommet de la falaise, le calvaire des Terrasses. Véritables symboles pour tous les marins qui partent à la mer, les 2 Calvaires du Tréport se dressent fièrement sur la Falaise et sur la Place de la Poissonnerie. Le calvaire est relié à l'ancien hôtel de ville, par un escalier de 378 marches. De la terrasse, vue sur les falaises cauchoises jusqu'à la pointe du Hourdel et à l'estuaire de la Somme, ainsi que sur la basse vallée de la Bresle, jusqu'à Eu.
 
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Les trois villes soeurs
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